Un roman Feel-Good dont la lecture, au coin du sapin scintillant, a parfaitement répondu à la détente que je recherchais. Drôle, comme le tome précédent. On y retrouve Allan et ses péripéties, cocasseries, ses rencontres improbables, ses aventures rocambolesques, son optimisme poussé à l'extrême qui lui réussit, et avec qui on ne s'ennuie pas une seule seconde. J'ai apprécié le regard critique de l'auteur sur la situation géopolitique actuelle, traitée avec humour. Trump, Kim Jong-un, entre autres dirigeants, en prennent pour leur grade; et j'avoue ne pas avoir boudé mon plaisir ;-)
Quatrième de couverture
Traduit du suédois par Laurence Mennerich
Lu d'une traite.
Je remercie vivement Babelio Masse critique ainsi que les éditions Presses de la Cité, pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce livre. Je n'ai pas hésité une seule seconde à retrouver Allan Karlsson.
Un bon moment de lecture, qui pousse à la réflexion. Parfait pour la trêve hivernale !
Je remercie vivement Babelio Masse critique ainsi que les éditions Presses de la Cité, pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce livre. Je n'ai pas hésité une seule seconde à retrouver Allan Karlsson.
Un bon moment de lecture, qui pousse à la réflexion. Parfait pour la trêve hivernale !
« Pendant mille deux cent soixante-quatorze ans, la Corée avait été un seul et même royaume. Ensuite, les choses s'étaient gâtées. Après la Seconde Guerre mondiale, les Américains et les Russes n'arrivèrent pas à s'entendre sur les souhaits des Coréens, et ne jugèrent pas utile de consulter les principaux intéressés. Les Russes installèrent un communiste au pouvoir au nord, les Américains un anticommuniste au sud. Le dirigeant du Nord trouvait que le pays entier lui revenait. Celui du Sud éprouvait le même sentiment, à son propre crédit. Cela conduisit aux violences que les manuels d'histoire nomment « la guerre de Corée ». Bien sûr, il y avait eu d'autres conflits dans la péninsule, mais les hommes ont la mémoire courte.Quand les affrontements eurent fait deux millions de victimes coréennes (plus un ou deux étrangers), on estima que cela suffisait. On choisit une ligne au sol (celle qui avait été tracée avant le début de la guerre) et on décida que chacun resterait de son côté jusqu'à nouvel ordre. Le communiste au nord inventa l'« autocratie », tandis que son homologue au sud, plus judicieux, ne donna aucun nom honorable à la dictature qu'il mit en place.
Margot Wallström [...] se demanda ce qui arriverait si on enfermait Kim Jong-un et Benyamin Netanyahou dans la même pièce. Humour et sens de l'autocritique inexistants de part et d'autre. Ne manquerait plus que Donald Trump comme médiateur. »
Quatrième de couverture
Le Vieux au 1,3 million de lecteurs en France ne sucre toujours pas les fraises !
Tout commence au large de Bali, avec une montgolfière et du champagne. Aux côtés de Julius, son partenaire dans le crime, Allan Karlsson s'apprête à fêter son cent unième anniversaire quand... patatras ! Le ballon s'échoue en pleine mer. Voici nos deux naufragés recueillis à bord d'un vraquier nord-coréen transportant clandestinement une dose d'uranium enrichi. Les ennuis ne font que commencer... De Manhattan à un lodge kenyan en passant par la savane de Tanzanie et l'aéroport de Copenhague, Allan se retrouve en plein coeur d'une crise diplomatique, croisant sur sa route Angela Merkel, Donald Trump et d'autres grands de ce monde, se liant d'amitié avec un escroc indien au nom imprononçable, un guerrier massaï, une entrepreneuse médium engagée sur le marché du cercueil personnalisé et une espionne passionnée par la culture de l'asperge.
Le vieil artificier polyglotte revient pour nous donner une leçon de géopolitique échevelée, instruite et toujours aussi hilarante.
Après une carrière dans les médias, le Suédois Jonas Jonasson a rencontré un succès phénoménal avec son premier roman, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, traduit dans une trentaine de pays. Il est également l'auteur de L'Analphabète qui savait compter et de L'Assassin qui rêvait d'une place au paradis, tous publiés aux Presses de la Cité.
Éditions Presses de la Cité, octobre 2018
495 pagesTraduit du suédois par Laurence Mennerich
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